Pour me rendre à mon bureau alors j'achète un vélo
Un très joli tout nickelé avec une chaîne et deux clefs.
Monté sur des pneus tous neufs je me gonflais comme un bœuf
Dans ma fierté de bourgeois d'avoir un vélo à moi.
J'en ai eu coup sur coup une douzaine
On me les volait périodiquement.
Comme chacun d'eux valait le prix d'une Citroën
Je fus ruiné très rapidement.
Extrait d'une chanson de Jean Boyer chantée par Georges Brassens.
29 décembre 2007
Pour me rendre à mon bureau
Publié par
ZigZorniF
Date :
12/29/2007
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